Êtes-vous le fils du président, ambassadeur?

Absence de contexte et défaite finale du Brésil

Que nous sommes un pitch de pays que nous connaissons tous déjà. Apparemment, le pays ne fonctionne pas parce qu'il est mal géré, mais la vérité est différente. Le pays ne fonctionne pas car beaucoup de gens en tirent profit. Voyez si le propriétaire du fournisseur de soins de santé veut que le SUS propose un traitement non suicidaire aux pauvres, si le propriétaire de l'entreprise de sécurité souhaite que la violence s'atténue, cet entrepreneur de l'entreprise de bus (dictature toujours croissante en raison des transports la publicité doit être gratuite) veut que tous les Brésiliens aient leur chariot, etc. Ce ne sont bien sûr que de modestes exemples étant donné la complexité de la pauvre réalité nationale, mais cela sert à saper certaines choses. Je me souviens que Alex Dias Ribeiro, pilote de formule 1 brésilien oublié, était d’origine bourgeoise et que dans les années 70/80, lorsqu’il arrivait en Europe pour tenter sa carrière dans les grandes compétitions, il était toujours approché par les autres pilotes: «Vous êtes le fils du président du Brésil? »La question reflétait un stéréotype varié du Brésil, comme une république bananière dans laquelle le président dictateur serait un milliardaire et son fils devait avoir un play-boy jouant dans le vieux monde. Malheureusement, le stéréotype il persiste toujours et est continuellement alimenté: du concierge du cimetière qui appartient maintenant à la jet-set internationale au nouvel ambassadeur nommé à la plus grande superpuissance du monde. Cette fichue chaise en cuir de deuxième ordre à Brasilia semble immédiatement devenir folle de vanité, voyageant dans un avion du dernier type de dizaines de milliers dollars et des pays en visite qui, quelques mois auparavant, ne savaient même pas qu’ils existaient, et ils ne savent certainement pas où ils se trouvent. En effet, le manque de sérieux et le désespoir perdurent lorsque des millions de Brésiliens ont voté pour tenter de transformer une situation de gauche totalement ridicule en une situation de droite totalement ridicule, où la république, autrefois traitée avec un cloaque à vide, est désormais traitée Insatisfait de l'inquiétude d'accepter une position de premier plan dans le "nouveau" gouvernement, car il lancera dans les latrines tout son avenir politique ou social dans peu de temps, tant d'impudence que de développement se développent. Dans une crise institutionnelle et morale totale, le sauveur du pays serait certain, une fois en place, de constituer un cabinet de crise capable de créer des stratégies sérieuses et des plans pour au moins commencer à essayer de faire réagir les choses. Au contraire, nous voyons des nominations au hasard, des voyages interminables, des propositions législatives à moitié pataca, et nous approchons de la fin de l’année. Avec la crise, environ 100 décès par jour ne peuvent être expliqués que par la malnutrition, et chaque événement nécessite plus de décès quotidiens (manque de soins, violence, faim, chômage, désespoir, maladies endémiques). La classe moyenne est confortablement «sauvée» avec ses emplois publics et ses salaires élevés et irréalistes, supportés par un fardeau fiscal qui envie les anciens Romains, mais n’a certainement aucune idée de ce que tout cela va faire. le pays ne résistera pas à la modernité et à l’ère de l’hyperinformation quand il sera détruit ou fermé par la plus cruelle dictature électronique pseudo-législative. Le temps nous le dira, mais bientôt. Comment voulez-vous votre burger, diplomate de carrière?